mardi 22 janvier 2013

Taille de la vigne


La taille vigne est une opération viticole qui s'effectue généralement pendant le repos de la plante.
Attention: prenez garde aux gelées

A la plantation : 
une fumure de fond pour aider la plante à s'enraciner.
Chaque année : 
un enfouissement en surface de compost mûr après la récolte.
Sauf si votre plant est malade, déposer au pied du cep les restes de la taille permet de donner à la vigne un bon paillage ; cela va progressivement alimenter la couche de terre végétale.
En cours d'année :
des arrosages mensuels de purin d'ortie et/ou de prêle ont des effets nutritifs et protecteurs pour les pieds.


La taille régule la production et permet d'améliorer la qualité des raisins en concentrant les sucres sur un nombre réduit de grappes, via la réduction du nombre de bourgeons laissés sur chaque souche.

En été:               
Suppression du feuillage superflu au début de l'été. Pincez les sarments deux feuilles après les grappes. 
Laissez une grappe par sarment la première année, deux la deuxième puis trois... Taillez toutes les branches sans fruit à 50 cm.
Éclaircissage des fruits: en éliminant une partie des fleurs au printemps, ou en supprimant les plus petites grappes en été.
Taille en vert:à la fin de l'été, pour favoriser la pénétration du soleil. Pincez les pampres en ne leur laissant qu'une seule feuille.

















vendredi 18 janvier 2013

Construction d' un hôtel a insectes


1. Paille ou bois : 
Bien abrité, ce matériau pourra accueillir les jolies chrysopes, dont les larves se nourrissent de bien des parasites : pucerons, cochenilles farineuse, aleurodes (ou mouches blanches), thrips ou oeufs d'acariens.
2. Tiges de bambous : 
Elles servent d'abri auxosmies, des abeilles solitaires qui pollinisent les premières fleurs des arbres fruitiers, dès le moi de mars.

3. Pots de fleurs retournés et remplis de foin : 
Cela attire les perce-oreilles qui aiment les nuisibles comme les pucerons.

4. Planchettes de bois 
Entassées derrière ces plaques en métal : où viendront se loger des insectes xylophages qui participent à la décomposition du bois mort.

5. Bûches percées : 
Elles deviennent un abri très apprécié de nombreux pollinisateurs bien utiles comme les abeilles et guêpes solitaires, dont les larves se nourrissent de pucerons.

6.Fagots de tiges à moelle : 
Comme la ronce, le rosier, le sureau, offrent des abris idéaux pour les syrphes et autres hyménoptères.

7. Briques : 
Elles sont appréciées des osmies (abeilles solitaires)..

8. Planchettes bien rapprochées et abrités :
 Elles attirent les coccinelles qui viennent y passer l'hiver. Leurs larves consomment énormément de pucerons.

Hébergez ces hôtes utiles et peu exigeants qui sauront vous remercier dès le printemps !

jeudi 17 janvier 2013

Faire un abris pour les petits herissons

Description et classification:
Le hérisson Erinaceus europaeus fait partie des mammifères insectivores de la famille des Erinacéidés.
Il est impossible de le confondre avec un autre animal, étant le seul en France à porter des piquants sur le dos (longueur des piquants: 3 cm). D'autres animaux portent des piquants mais vivent dans d'autres pays (Porc-épic, Tenrec). Sa longévité ne dépasse pas 10 ans, mais sa moyenne d'âge dans la nature est de 2 ans car plus du tiers de sa population périt chaque année.

Habitation:
On rencontrera le hérisson partout où il peut trouver gîte et nourriture. On le rencontrera ainsi en lisière de forêt, dans les prés bordés de haie (paysage de bocage) ou dans les parcs et jardins. Dans nos jardins, on le dénichera plutôt sur le tas de compost où il trouve les insectes nécessaires à son alimentation.

Comportement:
Le hérisson est un animal semi-nocturne. La nuit est consacrée à la chasse. Dès le crépuscule, il cherche sa nourriture composée d'insectes, de vers, d'escargots, de limaces, d'œufs, de fruits et de baies. Occasionnellement, il s'attaque aux serpents, lézards, rongeurs, batraciens et oiseaux nichant à terre. Il passe la journée dans un gîte qu'il aménage avec des feuilles, ou sous un buisson, et n'effectue que de rares sorties diurnes.
Il fait énormément de bruit en se goinfrant: il mastique bruyamment, grogne, s'énerve, envoie de la terre à plusieurs mètres lorsqu'il gratte le sol, fouille parmi les feuilles, renifle bruyamment.
A part ces bruitages dignes d'une bête féroce, il n'a pas un répertoire très riche. On l'entend parfois caqueter lors des moments de grande excitation. Les jeunes hérissons à la recherche de leur mère émettent un sifflement. Son organe sensoriel le plus développé est l'odorat. Il possède également une ouïe très fine.

Hibernation:
A la fin de l'automne, il commence à chercher un endroit pour hiberner. Ses sites d'hibernation favoris se situent généralement sous un tas de bois, un tas de feuilles, sous un arbuste ou tout autre endroit à l'abri du froid et du vent. Une fois le site idéal trouvé il s'aménage un petit nid capitonné de mousse et de feuilles.
Dès que la température chute en dessous de 10° C, il entre en léthargie, mais se réveille brièvement de temps à autre lorsque la température devient trop basse. A chaque réveil, il épuise ses réserves énergétiques, ce qui peut lui être fatal pour passer le reste de l'hiver. Le réveil définitif se fait au printemps, vers le mois d'avril, quelles que soient les conditions climatiques.  
                                

                               


Site proposant des modèles d'abris






lundi 14 janvier 2013

Installer des arbres à racines nues

La fin de l'année est favorable à l'achat d'arbustes à racines nues en pépinières. Veillez à ce que les racines ne restent pas exposées à l'air.

Plongez les racines de l'arbuste dans l'eau et ouvrez un trou équivalent à 3 fois leur volume. Faites un trou et séparez la terre de surface (la plus foncée) de celles des couches les plus profondes.


Commencez à reboucher le trou avec la terre de profondeur en y ajoutant un engrais organique longue durée (corne, poudre d'os,...). Disposez l'arbuste dans le trou en répartissant les racines de tous côtes dirigées vers le bas, le collet au niveau de la surface du sol. achevez de reboucher avec la terre de surface. Tassez et arrosez généreusement.


Deux façon de planter les bulbes

Choisissez un endroit ensoleillé, en sol perméable  Ameublissez le terrain sur 30 cm de profondeur et arrachez les mauvaises herbes avec leur racines.

En groupe

Ouvrez un trou de 30 à 40 cm de diamètre et d'une profondeur équivalente à 3 fois le diamètre des bulbes, soit 12 à 15 cm. Puis répartissez les bulbes dans le fond, la pointe dirigée vers le haut en les espaçant de 10 à 15 cm. Recouvrez de terre et tassez.

En isolé

Ameublissez de même que précédemment et installez chaque bulbe en ouvrant un trou de 12 à 15 cm de profondeur à l'aide d'un plantoir à bulbes. Posez le caïeu dans le fond, la pointe vers le haut, refermez et tassez.


vendredi 11 janvier 2013

Préparer son potager de manière écologique pour le printemps



En cette belle saison,  j’ai  eu l’idée de prendre de l’avance pour commencer à bécher le jardin. Avant toute chose j’ai épandue de la cendre de bois, de la chaux et du fumier de cheval pour amender le potager.
La cendre de bois : 
Les cendres de bois sont très riches en sels minéraux, principalement du calcium sous forme de chaux (20 % à 50 %), potasse (2 à 9 %), silice (14 %), magnésium (1 à 4 %), phosphore (0,5 à 2 %), mais pas d'azote. Ces qualités incitent à les valoriser dans le jardin sans nuire aux plantes et au sol.
Il n'y a pas de norme ni d'études suffisantes définissant les doses à épandre selon le type de culture. Il convient toutefois d'être prudent car les cendres, très fines, peuvent asphyxier la terre, nuire à sa structure et à sa perméabilité. (Environ 70 g/m2/an).





La chaux éteintes:
On la trouve en jardinerie en sachet : il faut l’étaler en tés petite quantité sur le sol.
Celle-ci permet de limiter les insectes néfastes pour les légumes et surtout les petits vers qui s’attaquent aux carottes, poireaux…



Le fumier de cheval :
On le trouve en jardinerie en sac ou on peu le récupérer chez un éleveur de chevaux proche des vous. 



  
Le fumier est un mélange de déjections animales et de litière végétale, généralement de la paille. Sa composition en fait un allié de choix pour le jardinier :
Riche en micro-organismes et en paille (ou autres matières fibreuses de la litière), il permet de régénérer l'humus et d'améliorer les qualités du sol.
Après avoir épandue cela ; je me suis mis a bécher avec une bèche en faisant un fossé pour remonter le plus de  terre et en même temps favoriser le mélange.



   

Rendu final :
Le potager est fini de bécher, amender  de choses naturelles ; prêt à accueillir les semences à venir…



Petit plus : 
J’ai déplacé mes fraisiers en les plantant sur une bâche de plantation pour éviter que les gourmands  (stolons) ne puissent s’enraciner et ainsi appauvrir le pied mère.
Pour finir, je les ai arrosés copieusement et mis une poignée d’engrais bio.



mercredi 9 janvier 2013

Protéger les oiseaux

Les mangeoires:

L'hiver, lorsqu'il est trop froid ou dure trop longtemps, peut être fatal aux oiseaux de notre jardin. Il peut donc être utile de les aider à passer les périodes les plus difficiles en leur offrant de quoi subsister. Une mangeoire à oiseau est également idéale pour apprendre à reconnaître les oiseaux communs : mésanges, rouges-gorges, chardonnets, moineaux, pinsons...
  • Il existe des mélanges tout prêts pour les oiseaux sauvages, mais beaucoup de choses peuvent leur convenir : graines, noix et noisettes décortiquées, miettes de pain et de biscuit trempées, matière grasse (suif ou saindoux sont parfaits !)
  • Il faut éviter de disposer la nourriture à terre où dans un endroit facilement accessible aux prédateurs (notamment aux chats). Différentes solutions existent : plateau au sommet d'un poteau, filet de graines suspendu à une branche, rebord de fenêtre...
  • N'aidez les oiseaux que pendant l'hiver, ils n'ont pas besoin de nourriture supplémentaire du printemps à l'automne ! Ils deviendraient alors dépendants et ne sauraient s'en sortir si vous arrêtiez de le nourrir, par exemple lors de vos vacances.
Les nichoirs :

La plupart des oiseaux de nos jardins nichent habituellement dans les cavités des vieux arbres. Coupés pour question de sécurité ou abattus lors des tempêtes, ces vieux arbres se font malheureusement rares tant en ville qu’à la campagne, entraînant une crise du logement pour les mésanges, les gobes-mouches ou les sitelles torchepot. Nourrir les oiseaux pendant l’hiver est donc important, mais leur offrir une chance de demeurer dans son jardin pendant toute la belle saison est encore mieux.



Conseils pour des nichoirs pour les oiseaux communs du jardin :

Vous pouvez naturellement acheter des nichoirs dans le commerce. Attention toutefois, certains fabricants proposent des nichoirs qui ont plus une vocation esthétique que d’accueil des oiseaux. De manière générale, évitez tous les nichoirs peints ou vernis, dont les trous sont trop grands, fabriqués en bois traité ou qui apparaissent peu solides. Les perchoirs devant le trou d’entrée sont signes d’un nichoir mal conçu : les oiseaux n’en ont nul besoin.

Il est aussi possible de fabriquer vous même un nichoir à oiseau : avec un peu de patience et quelques outils, le travail n’est pas très long. Il existe plusieurs type de nichoirs simple à fabriquer, dont voici les deux principaux :
  • Le nichoir bûche : une simple bûche fendue en deux fait l’affaire. Une fois évidée, réajustée avec quelques vis puis couverte d’une planchette pour le toit, elle accueillera idéalement les mésanges, les sitelles, voire les pics.
  • Le nichoir boîte : c’est une boîte en bois de petite dimension : 13x13x25 cm, Le toit demande à dépasser un peu pour éviter les intempéries. On peut ajouter une porte à ce modèle (sur le côté par exemple) pour nettoyer le nichoir pendant l’hiver.
La règle d’or pour la réalisation de nichoirs est de respecter les diamètres des trous. Ils semblent parfois bien petit quand on les perce : et pourtant, des trous plus grands permettraient à des prédateurs d’atteindre le nid !

Quelques modèles pour pouvoir créer :


vendredi 4 janvier 2013

Le compostage


Qu'est-ce que le compostage ?
Le compostage est un procédé naturel de dégradation des déchets
organiques (appelés également des biodéchets) en présence
d’oxygène et d’eau, par le biais de micro-organismes (champignons microscopiques, bactéries…).

Pourquoi composter ?
Le compostage à domicile est un moyen simple et efficace pour limiter la quantité d’ordures ménagères
(et donc les coûts de collecte et de traitement  de ces déchets).

De plus, en compostant, vous produisez un amendement de qualité économique et écologique pour votre terre :
 le compost favorise en effet la vie du sol en renforçant le stock d’humus et en améliorant sa fertilité.


Comment obtenir un bon compost ?

Des règles simples sont à observer pour produire un bon compost :
Mélanger les différentes catégories de déchets. 
Aérer et brasser pour fournir en oxygène les micro-organismes responsables du compostage et pour obtenir un compost de qualité homogène.
Surveiller l'humidité : arroser quand c'est trop sec et assécher quand c'est trop humide en étalant le compost au soleil ou en le mélangeant avec de la terre ou du compost sec...
Surveiller son compost afin de réagir rapidement. 

Quels déchets pouvons-nous composter ?
 
Pratiquement tous les déchets organiques produits par une famille peuvent se composter 
Déchets de repas : 
épluchures, coquilles d'oeufs, marc de café, filtres en papier, pain, laitages,
croûtes de fromages, fanes de légumes, fruits et légumes abîmés...
Déchets de jardin : 
tontes de gazon, feuilles mortes, fleurs fanées, mauvaises herbes...
Déchets de maison : 
mouchoirs en papier, essuie-tout, cendres de bois, sciures,
copeaux, plantes d'intérieur,...
Déchets plus difficiles à composter : 
les déchets très ligneux : tailles, branches, les os, les noyaux, les trognons de chou, certaines mauvaises herbes...

Quel matériel faut-il pour composter
(Source : Ademe)
Vous avez à votre disposition une large gamme de méthodes et de matériels pour faire votre compost.
Chaque solution a des avantages et des inconvénients.
Les critères qui pourront vous guider sont la place disponible, la quantité de déchets organiques,
la proximité du voisinage, le temps à consacrer à cette activité …
 Le compostage en tas
Cette technique consiste à regrouper les déchets directement sur le sol afin de former un tas d’une hauteur variable (0,5 m à 1,5 m en moyenne).
Ses avantages 

Souplesse et facilité d'utilisation
Il n'y a aucune contrainte de volume.
Vous jouez sur la hauteur, la longueur et vous pouvez faire autant de tas que vous le souhaitez.
Les déchets sont toujours accessibles et visibles. Vous les surveillez en toute facilité.  
Le compostage en tas convient à ceux qui disposent de place et n’ont pas beaucoup de temps à consacrer au compostage.
Le manque d’arrosage est compensé par les pluies périodiques.
L’aération naturelle est souvent importante et limite ainsi les risques d’asphyxie.
L’évaporation relativement aisée peut aider à combattre l’excès d’eau.
Mais le mieux est quand même de surveiller et de mélanger régulièrement votre compost.

Ses inconvénients :
Lenteur et désagréments visuels
Le tas est à la merci d'animaux (chiens, chats, rongeurs, etc.) qui peuvent
éventuellement être attirés par les épluchures, les os et autres restes de cuisine.
Déposer les déchets frais au milieu du tas peut être une parade efficace.
Le tas est exposé aux aléas climatiques, aux précipitations, au vent, à la sécheresse,
au froid qui ont pour conséquence de rendre le processus irrégulier.
Une surveillance régulière permet de pallier ces inconvénients.
Le compostage est un peu plus long : il faut de six mois à un an pour obtenir
un compost mûr prêt à l’emploi.


Le compostage en bac

Un composteur, aussi appelé « bac à compost » ou « silo à compost »,
se présente sous la forme d’une structure en bois, en métal ou en plastique.
Il contient un volume réduit de déchets à composter et limite les effets de surface tels que
l’assèchement ou le refroidissement. Il peut être plus ou moins ouvert sur l’extérieur.  

Ses avantages : 
Encombrement et nuisances visuelles réduits
Vous pouvez le mettre à l'abri des aléas climatiques et assurer une décomposition homogène
pour l'ensemble de la masse.
Les composteurs fermés placent les déchets hors de portée des animaux.
Un composteur vous permet de fabriquer votre compost même si vous ne disposez
que de peu de place.
Le compostage peut être rapide (quatre à cinq mois).

Ses inconvénients
Petits volumes et surveillance régulière
Il convient uniquement pour les petits volumes (jusqu’à 1 000 litres).
Pour que le compostage en bac fonctionne correctement, il faut y consacrer du temps.
Le fait que le composteur soit fermé ne signifie pas que le compostage se fasse seul.
Il faut le surveiller fréquemment pour éviter des dérives
(sécheresse, pourrissement nauséabond)
qui sont irréversibles en l’absence d’intervention de l’opérateur.

jeudi 3 janvier 2013

Création d'un massif sur le coin d' une terrasse

Ce massif a été mis en place près de la terrasse pour apporter un écran de verdure et de la fraîcheur. Pour donner un côté zen a celui-ci; des galets blanc ont été épandu sur le sol.



Selection des végétaux :

  • Rhododendron x
  • Ligustrum nuage
  • Potentille fructicosa goldfinger
  • Azalée japonaise
  • Choisya ternata

Pose de la bâche de tressée et plantation des végétaux :

Au moment de la création de ce massif il faisait très chaud.
Pour faciliter une bonne reprise des plantes; il a fallu les arroser copieusement a la plantation et incorporer une poignée de corne broyée ( engrais a diffusion lente) et de sang séché (engrais a diffusion rapide).




Pose des galets :



Résultat final :





mercredi 2 janvier 2013

Création d'un massif de plantes persistantes et fleuries

Ce massif à été mis en place pour créer un vis à vis entre un parc de jeu et un jardin avec terrasse. Celui-ci à été planté en quinconce de façon a être caché avec des plantes persistantes (qui gardent leurs feuilles en hiver ) et avoir des fleurs selon les saisons...

                                   

Sélection des végétaux :


  • Photinia red robin
  • Hortensisas
  • Hypericum hidcote
  • Lavande officinale
  • Escallonias rouge
  • Spirée japonaise gold flamme
Pose de la bâche de Plantation :

Celle ci permet de retenir l'humidité, empêcher les mauvaises herbes de pousser...

                                    

                                    

Plantation des végétaux :

  • Faire un trou de 2 à 3 fois la taille du pot.
  • Incorporer une poignée d'engrais bio au fond.
  • Intégrer votre végétal en comblant celui-ci avec du terreau de bonne qualité.
  • Arroser la plante abondamment pour assurer une bonne reprise.
                            

Pose des écorces de Pin :

                                       

Résultat Final :